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LE VITALISME
 
Au-delĂ  de la matiĂšre, la puissance du vivant
Le vitalisme est nĂ© d’une tradition philosophique pour laquelle le vivant n’est pas rĂ©ductible aux lois physico-chimiques.
 
Chi en Chine, prana en Inde, energeia en grec, l’énergie ou force vitale est la force en action, la vigueur, la dĂ©termination.
 
Pour la Naturopathie, elle matĂ©rialise la vie. Pour la mĂ©decine du sens (Thierry Jansen), elle est le lien entre le corps et l’esprit.
 
« L’énergie vitale est indissociable du terrain». Daniel Kieffer (naturopathe).
 
LA DIFFERENCE ENTRE UN ÊTRE VIVANT ET UN CADAVRE, C’EST L’ENERGIE VITALE qui est prĂ©sente en l’un et a dĂ©sertĂ© l’autre.
 
La mĂ©decine chinoise considĂšre, qu’à l’état d’équilibre, cette Ă©nergie vitale (chi) est normalement rĂ©partie dans tout le corps.
 
Les praticiens de prĂ©vention de terrain dĂ©finissent l’état de santĂ© d’une personne en fonction de sa vitalitĂ©. Plus elle est basse et plus le sujet est vulnĂ©rable.
 
Une bonne vitalitĂ© est un gage de bonne santĂ©, prĂ©sage d’un systĂšme immunitaire de qualitĂ© qui saura faire face aux agressions bactĂ©riennes, microbiennes et virales.
Il ne s’agit pas ici de ne JAMAIS ĂȘtre enrhumĂ©, grippĂ©, fatiguĂ©, mal fichu, atteint 
 Il s’agit d’avoir un organisme rĂ©actif, suffisamment fort pour rĂ©agir et
 guĂ©rir.
 
L’objectif de la naturopathie Ă©tant de « faire plus de santĂ© », il sera question de modifications Ă  apporter afin de permettre au corps de se rĂ©guler et de retrouver plus d’énergie et de santĂ©.
 
Une personne dont la vitalitĂ© est trop basse, n’aura pas l’énergie vitale nĂ©cessaire pour rĂ©agir ou se recharger.
À moins de « remonter son terrain », elle ne peut pas se dĂ©fendre contre l’agresseur et doit s’adresser Ă  la mĂ©dication allopathique

 
Nous ne sommes pas égaux devant la vitalité.
Dans certaines familles, les anciens vivent jusqu’à 94 ans, dans d’autres, ils ne dĂ©passent pas 70.
Certaines familles rencontrent nombre de cancers ou de maladies dites de civilisation, d’autres en sont exempts.
Certains ont la goutte au nez tout l’hiver, d’autres font une grosse poussĂ©e de fiĂšvre et repartent.
Nous héritons nos gÚnes de nos deux parents qui tiennent les leurs de leurs parents.
 
La prĂ©vention de terrain et l’hygiĂšne de vie permettent de renforcer les acquis et augmenter la vitalitĂ©.
 
La santĂ© n’est pas une fatalitĂ©, elle est une responsabilitĂ©.
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